You Can't Read - [L]

Can't Read My, Can't Read My,
No You Can't Read My Poker Face
Libre <3
20 Lignes& bon RP Exigés.

Et si au fond, chaque être n'était que haine ? Si, la seule motivation du monde, était la vengeance ? Si, la seule chose que l'univers eut put mener à bien fût la guerre ? Et si, au fond, on n'avait pas le choix ? Si ; au fond, tout conduisait à la même chose : l'effusion de sang ?
Voici des question, bien existantielles et profondes, mais au fond ; qui s'en tracassait vraiment ? Quelques pacsifistes idéalistes, philosoques aigrits, ou savant allumés peut-être. Mais réellement, qui s'interessait au destin et à la fatalité ; qui, était assez mature, pour savoir réflévhir quant à l'essence du monde lui même ? Bien peu de gens, pour ne pas dire aucuns... Et pourtant, Charlie était l'un d'eux. Autrefois, il fut évidement, un de ces guerriers, drois et fiers, regorgeants de principes hautains et cruels. Mais à présent, il comprenait, voyait et ressentait, une chose, qui jamais ne lui avait fait obsacle avant : le début de la sagesse. Et si ce n'était que le début, alors à quelles affaires philosophiques penserait le guerrier dans quelques années ? C'éait au destin qu'il fallait s'en remettre, à la fatalité ; pour le peu que ces choses existent, ou quand bien même ; qu'elles aient un sens... Pourtant, c'en était bien à ces choses là que s'en remettait le dominant, avec une gravité particulière.
Cet état d'esprit, cette analyse des chose : cette vue du monde, Charlie avait déjà maintes fois essayé de l'inculqué à ses combattants, mais il eut bien vite comprit, que la sagesse qu'aqcerais par expérience et par mérite, ainsi, ne touchait-elle qu'une fort maigre partie des individus de cette terre. Ce dernier nombre, dépendant encore de la signifiquation que l'on donnait à la sagesse ; Charlie quant à lui, considérais la sagesse comme la préférense de l'ofensive défendante, l'évitement de la cruauté et des effusions de sang inutiles. Le poney, considérait la sagesse comme la juste manière de voir les choses, celle dans laquelle, la lutte du bien contre le mal ,n'existait pas. Il n'y avait pas de bons choix ; il y avait uniquement des choix qui faisaient moin souffrir que d'autres.

Et si l'ont pensais trouver une réponse aux premières questions, l'ont en arrivait pourtant à prendre le monde pour vil et cruel. Mais l'était-il vraiment ? Etait-il seulement, animé de sa conscience propre ? Bien des choses, auquelles le sage ne savait répondre. Dans ce cas, la sagesse est-ce d'accepter l'ignorance ? Peut être, mais il était sage, de ne pas rechercher la connaisance à tout prix. La sagesse, une chose paradoxale, mais tellement complexe et indispensable...

Cette sagesse, maints chevaux, pensaient que Charlie la possédait, ou dûmoins en partie. Mais qui pouvait se vanter de vraiment être sage ? Personne assurément, car au fond, croire c'est savoir, et savoir que l'ont est sage, c'est être fou. Ignorant, convenait alors mieux à Charlie, ignorant de sa sagesse ; mais comment pouvait-on être sage et ignorant à la fois ? Et bien, là encore, il fallait accepter l'absence de réponse... Donc, au fond, la sagesse, ce serait l'ignorance ?

+. Pourquoi suis-je née ? Pour tuer et semer la terreur bien sûr. Mon seul but depuis ce terrible jour de traîtrise. Je les aurais bien tous tués si ils ne leur avaient fallu perpétuer la génération du clan. Ce dominant, ce sale lâche, il méritait de mourir. Oui, je l’ai tué, de mes propres sabots. Je l’ai envoyé en enfer, là où devait finir cette ordure. Pour moi, pas de regrets. Je sais que je suis vouée aux Enfers, alors… autant me damner avec application. Ma devise, elle me suit partout. Je les ai quitté. Je suis partie, chercher une autre vie. C’était la solution la plus sage, la plus logique. Si j’étais restée, je serais morte à l’heure qu’il est, tuée dans le dos, par ces lâches. Je les hais de tout mon être. J’ai galopé durant des jours et des jours, ayant complètement perdue la notion du temps. Je vis désormais sur Liberty Horses.

+. Mes sabots s’enfonçaient dans le sable à chacun de mes pas, et je pestais contre ce sol si mou qui m’arrachait tant d’énergie. Et puis ces violentes bourrasques qui me piquaient les yeux et me bouchaient la vue. Je ne voyais pas à trois mètres devant moi tant le sable était soulevé par le vent. J’avançais à l’aveuglette, guidé par le seul jeu du hasard. Et qui sait comment ce jeu peut être fatal et cruel. Il s’amuse avec vous, il vous donnes des illusions, et tout ça pour quoi ? Pour vous heurter avec plus de dureté encore à la vérité. Mon toupet me voilait mes yeux, je tentais de le dégager, impossible, le vent le rabattait à caque tentative. Je tombais à genoux.

+. Je n’avais plus la force de lutter, la vie est trop cruelle. Chaque être se dit bon et sage, mais nous finissons tous au même endroit, en Enfer. Car chaque être de ce monde bascule tôt ou tard dans la violence et la corruption. Un tourbillon mortel, une mauvaise pente. J’étais sur cette pente. Désespérée, brisée, cassée…Une minute ! C’est moi qui dis ça ? Il faut que je me secoue, rester là à me lamenter ne me ressemble pas ! Je secouais la tête et me remise debout. Je plaquais les oreilles pour résister au vent, et fit un pas résolu, puis deux. Enfin, j’avançais contre le vent et la peur, contre la mort, contre le désespoir, je reprenais ma vie entre mes mains. Soudain, une forme brune se fit voir devant moi. Un étalon apparut.

[ Superbe <3]

Mais si la sagesse était l'ignorance, alors la conaissance serait-elle la bêtise, car au fond ? il était bête de croire que l'ont connaissait beaucoup de choses. Mais, plus l'ont savait, plus on était sage, mais plus l'ont savait, plus l'ont se rendait compte que notre conaissance était médiocre, ignorante. La sagesse, était-elle alors réellement l'ignorance, l'ont pouvait le penser, et d'une certaine magnière, cela devait être vrai. Mais alors, pourquoi les sages aspiraient-ils à la conaissance ? Là encore, l'absence de réponde devait être accpetée, ou bien, le paradoxe pour ceux qui ne savaient pas rester sans savoir - les moins sages ? - mais, ces rélflexions étaient-elles necessaires ? Sans doute pas, et bien peu de gens, s'encombrait de ces choses inutiles. Charlie pourtant s'amusait quant-à s'interroger sur pareils sujets, et jusqu'à présent, ce lui était parût comme un passe temps un peut plus cultivé qu'un autre, et non par de la sagesse.
Récapitulons donc : pour être sage, il fallait être ignorant de sa sagesse, mais la sagesse constituait l'exprérience et donc le savoir, et malgré tout, la sagesse serait l'ignorance ?

C'est sur ce que le bai haussat désinvoltement les épaules pour sortir de ses pensées et inspecer les lieux avec une circonspection grandissante. En effet, il n'était plus seul sur cette étendue immense de sable et de pierres aride balayée par des vents secs. Avec une détermination farouche, le poney hennit, se cabrant et battant l'air avec rage de ses antérieurs fins et secs. L'étincelle de malice si habituelle à Charl' se raluma dans ses yeux verons, et il envoyat d'un geste machinal son toupet fournit sur son oeil bleu ; laissant le noir à découvert.
Quand il eut repéré l'individut indésorable, il s'approchat de lui la démarche soupie et féline, avant de s'arrêter devant lui, de le toiser quelques instants à peine, avant de comprendre, la détresse de l'équidé. Ses traits s'adoucirent alors, et d'un voix chuchotée, le poney demandat :

"La sagesse, c'est l'ignorance ?"

[Edité

Désolée du temps que ca a prit =/]